Des médias français de la grosse presse pourrie s’évertuent encore et toujours à présenter Jean-Luc Mélenchon, le nostalgique de la terreur révolutionnaire et de ses continuateurs du GPU, NKVD et autres KGB, comme un « insoumis », un candidat « hors-système » à la présidence de leur république.
Imposture merdiacratique ! Ce Jean-Luc Mélenchon est en réalité un des bons petits soldats du système.
Ainsi, on apprenait mercredi 22 mars qu’il en a été bien récompensé : son patrimoine dépassant le million d’euros.
Et « l’insoumis » vote surtout pour la pierre. Le candidat du « dégagisme », le renversement du système, boude ostensiblement l’assurance vie, tout comme les placements en actions. Il leur préfère l’immobilier, parisien ou non. Seule fantaisie : une collection de 12 000 livres, et des photographies, pour un montant global de 50 000 euros.
D’autre part, déjà en 2012, Jean-Luc Mélenchon avait confirmé son appartenance aux frères trois points. La franc-maçonnerie, cette « synagogue de Satan » (assemblée ou église composée de personnes qui disent « être Juifs mais ne le sont pas » formellement), tentacule « laïque » du judaïsme politique, destiné à faire des « gogos utiles » d’efficaces compagnons de route.
Et c’est au Grand Orient de France que Mélenchon a posé son tablier. « J’y suis entré en 1983 », affirme-t-il, après « le tournant de la rigueur » qui l’a mis « K.O. debout ». Il y intègre la loge Roger Leray où il a comme thèmes de prédilection l’idéal républicain et la défense de la laïcité.
« Quand tout s’est cassé la figure, que reste-t-il ? La République. Donc, in fine, la liberté et l’égalité », souligne l’ex-trotskiste (durant 3 ans), dont le père était également franc-maçon. « Je comprends non pas la vision trotskyenne de la franc-maçonnerie, c’est-à-dire une machine à corrompre la classe ouvrière, mais je vois l’inverse : le lieu où se conserve le fil d’or. Où traverse notre histoire. Les temps profonds »…
Est-on vraiment le candidat le mieux placé pour faire voler en éclat un système injuste et sclérosé lorsque ce système a fait de vous un millionnaire dans les assemblées de sa république ?
Peut-on prôner réellement l’insoumission, par rapport à l’Union Européenne, l’OTAN et les États-Unis, lorsqu’on a soi-même prêté un serment d’allégeance à une organisation dont les travaux doivent, également par serment, rester secret et dont sont issus les pères fondateurs des États-Unis et de l’Union Européenne ?
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