Une coalition de responsables provenant du gouvernement australien, de la ville d'Adélaïde, d'entreprises, de l'université et de grandes sociétés technologiques qui se mobilisent actuellement pour faire de la ville d'Adélaïde un modèle de ville technologique qui pourra être exporté à travers le reste de l'Australie et dan
2s le monde entier.
Adélaïde est assez petite pour être utilisée comme un laboratoire, mais assez grande pour y entreprendre des initiatives ambitieuses, explique un professeur des sciences informatiques de l'Université d'Adélaïde. L'idée centrale d'une ville intelligente est l'internet des objets, soit des objets du quotidien qui comportent la connectivité en ligne. D'autres technologies prospectives sont étudiées dans le domaine de la sécurité dont des lecteurs biométriques qui permettent aux ambulanciers d'obtenir les dossiers médicaux des patients inaptes, via un scan des empreintes digitales ou via des techniques de reconnaissance vidéo qui sont aussi capables d'identifier les suspects d'un crime et ce, même s'ils portent un masque.
Lancé il y a 8 mois, les principaux acteurs du projet sont l'Université d'Adélaïde, le ministère sud-australien du développement de l'État, le conseil de ville, les entreprises locales ainsi que les géants Ernst and Young, Cisco, Microsoft, Oracle, Fuji, Xerox et NEC Australia.
La NEC (société industrielle japonaise d'informatique et de télécommunication) a beaucoup à offrir en matière de sécurité publique avec les technologies d'identification biométrique déjà utilisées sur les smartphones de la police du sud et du nord australien. Ces technologies permettent une identification immédiate des membres du public.
La NEC a été impliquée dans une initiative similaire en Grande-Bretagne dans le cadre du Bristol Is Open.
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