Ce dimanche, le vol QZ8501d'Air Asia Indonesia a disparu des écrans radars avec 162 personnes à son bord. Après le vol MH370 et le vol MH17, c'est donc le troisième avion indonésien a se crasher dans de mystérieuses circonstances cette année.
À ceux ci, il faut également rajouter le vol Alger-Ouagadougou, ce qui porte à 4 le nombre d'appareils qui cette année se sont crashés dans des circonstances qui laissent craindre une opération sous faux drapeau.
Pour rappel, le vol MH370 s'était abîmé dans l'océan indien au mois de Mars sans que l'on ai pu retrouver une trace quelconque malgré un déploiement de moyens gigantesques. À l'heure des GPS intégrés dans les smartphones et des satellites de surveillance, on était prié de croire qu'un avion de ligne pouvait disparaître des radars sans laisser de traces. D'innombrables anomalies ont été rapportées au sujet de cette catastrophe aérienne, trop pour pouvoir toutes les mentionner, mais on retiendra que les pilotes n'ont pas eu le temps ou la capacité de communiquer avec les contrôleurs de vol.
Étrangement, la même chose est arrivée lors des crashs qui ont suivi. Dés lors, on peut considérer qu'il pourrait s'agir d'un des marqueurs des opérations sous faux drapeaux. Ainsi, lors du crash du vol MH17 en Ukraine au mois de Juillet, crash qui s'est avéré être un false flag destiné à faciliter un conflit avec la Russie, les pilotes n'ont pas non plus eu le temps de communiquer avec les contrôleurs de vol au moment de l'accident (et pour cause, ils étaient morts dans leur cockpit criblé de balles). Même l'enregistrement des conversations dans les minutes qui ont précédé le drame ont été aussitôt confisquées après les autorités ukrainiennes. Et on se souvient que les pays impliqués dans ce drame se sont engagés à ne jamais divulguer la vérité.
Même topo avec le crash du vol d'Air Algérie en provenance de Ouagadougou qui s'est crashé dans le désert le 24 Juillet. Les pilotes n'ont pas eu le temps de lancer un SOS. Là encore, divers indices laissent à penser qu'il y a une volonté délibérée d'occulter les circonstances réelles du crash.
Avec la disparition du vol d'Air Asia, c'est donc la quatrième fois qu'un avion se crashe sans que les pilotes n'aient eu le temps de communiquer leur position ni de lancer un SOS. Comme d'habitude, on est prié de croire qu'un avion peut se volatiliser malgré tous les moyens de surveillance. On est également prié de croire que les boites noires peuvent disparaître ou que si elles sont retrouvées, elles ne serviront pas à grand chose comme dans le cas du vol MH 17.
Lors du crash du vol d'Air Algérie, aucune boite noire, ni de débris humain n'ont étés découverts, on est prié de croire que l'avion est tombé à la verticale et se serait littéralement désintégré en percutant le sol ce qui a eu pour effet de faire disparaître les corps de tous les passages.
À la lumière des précédents crashs, on peut donc considérer que l'absence ou le manque de données exploitable des boites noires constitue également un des marqueurs d'une opération sous faux drapeaux mettant en jeu une catastrophe aérienne.
L'année 2014 fut historiquement celle qui connu le plus de désastres aériens en une décennie. Du point de vue complotiste, elle sera également celle qui aura vu pas moins de 3 false flags probables.
Quelques heures à peine après la disparition du vol d'Air Asia, il est encore trop tôt pour affirmer quoi que ce soit. Comme d'habitude, les chercheurs de vérité se contenteront tout d'abord de relever les diverses incohérences et anomalies avant de se prononcer sur le fond de l'affaire.
À ce stade, on observe que comme dans les précédents cas, les pilotes n'ont même pas eu le temps de lancer un "may day", ce fait constitue un des marqueurs mais non une preuve d'une opération sous faux drapeau.
L'avion a disparu au milieu d'une zone de trafic intense, ce qui signifie que des centaines d'autres avions auraient dû l'apercevoir. Plusieurs heures après son disparition, il n'a pourtant toujours pas été repéré.
http://www.flightradar24.com/-3.46,105.77/6#./5?&_suid=1419777797183028334359055223346 |
Dernier élément à prendre en compte, il faut savoir que dans le cas où l'appareil subi une influence extérieure notamment dans le cas d'une dislocation partielle du fuselage, des balises de repérage sont automatiquement activées et elles sont conçues pour fonctionner même sous l'eau. Cependant, ces balises radio ne s'activeront pas au cas où l'avion procéderait à un amerrissage à la surface de la mer.
En vertu des informations en notre possession, l'airbus d'Air Asia aurait en principe dû être repéré dés les premières heures du crash. Pourtant, les recherches ont été interrompues à la tombée de la nuit 12 heures après sa disparition des écrans radars.
Comme on l'a vu, ce drame comporte certains marqueurs propres aux récents false flags aériens même si cela ne démontre en aucune façon qu'il puisse en constituer un de plus.
Le mieux à faire est donc de rester vigilant tout en gardant à l'esprit qu'au cas où les autorités chercheraient à occulter la vérité, elles orchestreraient une véritable cacophonie médiatique multipliant les fausses pistes et les déclarations contradictoires.
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